L’idée est un véhicule.
L’idée est une chaussure.
Elle nous permet de nous déplacer.
Mais elle en elle-même, elle n’est rien.
Ce qui compte c’est comment nous l’utilisons.
Comment nous marchons.
Comment nous nous déplaçons.
Où nous allons.
A quelle vitesse, à quelle rythme, pas de loup, pas chassé, petits pas, pas de géant, pas de course.
« C’est pour cela qu’il n’y a ni beaux ni vilains sujets et qu’on pourrait presque établir comme axiome, en se posant au point de vue de l’Art pur, qu’il n’y en a aucun, le style étant à lui tout seul une manière absolue de voir les choses. »
Gustave Flaubert, Lettre à Louise Colet, 16 janvier 1852.
Ce qui compte : c’est le style.
Après avoir réfléchi à la nature de l’idée,
Donc à la nature du véhicule
nous pourrons réfléchir à la nature du style
c’est-à-dire à la nature du voyage.
L’idée est une chaussure.
Elle nous permet de nous déplacer.
Mais elle en elle-même, elle n’est rien.
Ce qui compte c’est comment nous l’utilisons.
Comment nous marchons.
Comment nous nous déplaçons.
Où nous allons.
A quelle vitesse, à quelle rythme, pas de loup, pas chassé, petits pas, pas de géant, pas de course.
« C’est pour cela qu’il n’y a ni beaux ni vilains sujets et qu’on pourrait presque établir comme axiome, en se posant au point de vue de l’Art pur, qu’il n’y en a aucun, le style étant à lui tout seul une manière absolue de voir les choses. »
Gustave Flaubert, Lettre à Louise Colet, 16 janvier 1852.
Ce qui compte : c’est le style.
Après avoir réfléchi à la nature de l’idée,
Donc à la nature du véhicule
nous pourrons réfléchir à la nature du style
c’est-à-dire à la nature du voyage.
- Enseignant: Stéphane Malandrin